Compter les moutons, faire du sport, faire l’amour, … autant de solutions « faciles » proposées pour remédier aux troubles du sommeil. Certaines causes, par exemple les troubles liés à l’enfance ou à l’hygiène de vie, se déterminent et se résolvent aisément. D’autres nécessitent l’intervention d’un professionnel pour disparaître. Les symptômes varient selon les causes, les remèdes aussi.

Identifier les différents troubles du sommeil

On distingue communément trois groupes principaux : les dyssomnies, les parasomnies et les troubles liés à des maladies. 

Les dyssomnies : on trouve dans ce groupe les insomnies psychogènes. La personne s’endort alors facilement lorsqu’elle n’essaie pas de s’endormir (à des périodes non programmées). Les insomnies d’altitude renvoient aux premières nuits passées en altitude, qui peuvent engendrer des réveils fréquents et un sommeil non réparateur. Les insomnies liées à la prise de drogue (café et alcool) ou encore la narcolepsie, qui se caractérise par une somnolence excessive dans la journée appartiennent elles aussi à ce groupe.

Les parasomnies : ce terme désigne les périodes de somnambulisme, les terreurs nocturnes, les cauchemars, les troubles liés au sommeil paradoxal (celui des rêves), le bruxisme (le grincement involontaire des dents) et l’énurésie. 

Les troubles liés à des maladies : la dépression et la manie peuvent, entre autres, allonger les temps d’endormissement.

Quels sont les remèdes existants ?

Tout dépend des symptômes, et donc des causes. Les lister ici prendrait bien trop de temps, mais nous pouvons citer, entre autres méthodes, des thérapies comportementales avec séances de relaxation, des médicaments, l’éviction de certaines substances ou encore le port de gouttières dentaires en caoutchouc. Certaines plantes, mises en avant par le laboratoire Lescuyer, favorisent un endormissement « naturel » et évitent les effets potentiellement néfastes de certains médicaments. Selon la plante, on remarque des effets comme :

  • amélioration du temps d’endormissement
  • amélioration de la qualité du sommeil
  • effet calmant
  • équilibre nerveux

Afin de choisir au mieux « sa » plante (ce qui est naturel n’est pas forcément sans danger), il est essentiel de savoir nommer la gêne ressentie par la personne « souffrante ».

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